Il y a incontestablement du vrai dans ces arguments. Le truc c’est combien on peut attendre d’un investissement boursier. J’ai d’ailleurs posé la question sur le forum EN:
Ca me fait aucun doute qu’un excellent placement battra sans problème un médiocre achat immobilier.
Il y a quand même eu pas mal de choses différentes qui se sont produites en 100 ans. Compter sur le fait que ça continue comme par le passé, c’est pas déjà une hypothèse optimiste? (C’est une vraie question que je me pose)
Mais ça m’intéresse parce que ça nous amène au point de mon précédent post, si je devais m’exprimer différemment:
Est-ce qu’il n’y a pas plus de variables connues au moment de la décision dans le cas de l’investissement immobilier?
Je laisse tomber le point sur la tangibilité qui est un certain biais dans mon appréciation.
Il me semble que les gains se calculent plus facilement, du moins si on reste dans de la PPE. La rénovation est généralement gérée par une épargne d’immeuble, on sait à peu près combien on paie de loyer pour un appartement du lot, on sait combien l’hypothèque nous coûte pendant 10 ans. Ce qu’on sait pas c’est combien ça vaudra dans 20 ans, mais si on se fie au passé, y’a peu de chances que ça baisse…
Il me semble qu’il y a moins de variables connues dans le cas d’un rendement boursier, mais je sais pas si c’est mon pessimisme post-2008 qui prend le dessus sur la raison.